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Affluence des hommages sur les réseaux sociaux


Affluence des hommages sur les réseaux sociaux
Les messages de sympathie signés par des fans de Cheb Hasni (1968-1994) ont afflué jeudi sur les réseaux sociaux, rendant un bel hommage au regretté chantre du raï sentimental à l'occasion de la commémoration de la 22ème année de sa disparition.Les messages de sympathie signés par des fans de Cheb Hasni (1968-1994) ont afflué jeudi sur les réseaux sociaux, rendant un bel hommage au regretté chantre du raï sentimental à l'occasion de la commémoration de la 22ème année de sa disparition.Les commentaires sur le talent de Hasni n'ont cessé d'affluer sur les réseaux sociaux tels Facebook où des dizaines de comptes lui sont dédiés par ses admirateurs, dont nombre de jeunes qui ne l'ont même pas connu de son vivant. "Il est mort mais jamais il ne tombera dans l'oubli", souligne un fan sur une page-hommage intitulée "Contre l'oubli de Cheb Hasni"."Une des plus grandes figures de la chanson algérienne", soutient un autre. Des clips et des vidéos de concerts animés sur scène par le défunt artiste sont également partagés par les internautes pour se remémorer aux belles mélodies de leur idole et à ses textes déclamés de sa voix captivante, douce et mélancolique. Né le 1er février 1968, Hasni entama son parcours artistique en chantant dans des fêtes de mariage avant de se joindre à un groupe local pour animer des soirées.En 1987, il chante "El-Barraka..." en duo avec Cheba Zahouania. Ce tube lui ouvre les portes du succès, lui permettant d'élargir son auditoire au fil de sa production prolifique, estimée à une centaine d'albums.Le répertoire du raï lover comporte, entre autres titres à grand succès, "El-Visa", "Mazal Kayen l'espoir", "Ma danitch na'tfarkou", "Alach ya aïniya", "Tlabti lafrak", "Jamais nansa" ou encore "Mazal galbi melkiya ma bra" et "Rani nadem ala liyam". Cheb Hasni est décédé le jeudi 29 septembre 1994 à Oran, victime d'un acte terroriste dans son quartier Es-Seddikia (ex- Gambetta).De nombreux hommages lui sont rendus régulièrement par des chanteurs algériens et étrangers, notamment lors des festivals qu'abrite le Théâtre de plein air de la ville, baptisé de son nom. La commémoration de la disparition de celui que d'aucuns qualifient de roi de la chanson sentimentale, coïncide cette année avec la proposition algérienne visant au classement du genre raï à la liste représentative du patrimoine mondial de l'humanité, note-t-on.Les commentaires sur le talent de Hasni n'ont cessé d'affluer sur les réseaux sociaux tels Facebook où des dizaines de comptes lui sont dédiés par ses admirateurs, dont nombre de jeunes qui ne l'ont même pas connu de son vivant. "Il est mort mais jamais il ne tombera dans l'oubli", souligne un fan sur une page-hommage intitulée "Contre l'oubli de Cheb Hasni"."Une des plus grandes figures de la chanson algérienne", soutient un autre. Des clips et des vidéos de concerts animés sur scène par le défunt artiste sont également partagés par les internautes pour se remémorer aux belles mélodies de leur idole et à ses textes déclamés de sa voix captivante, douce et mélancolique. Né le 1er février 1968, Hasni entama son parcours artistique en chantant dans des fêtes de mariage avant de se joindre à un groupe local pour animer des soirées.En 1987, il chante "El-Barraka..." en duo avec Cheba Zahouania. Ce tube lui ouvre les portes du succès, lui permettant d'élargir son auditoire au fil de sa production prolifique, estimée à une centaine d'albums.Le répertoire du raï lover comporte, entre autres titres à grand succès, "El-Visa", "Mazal Kayen l'espoir", "Ma danitch na'tfarkou", "Alach ya aïniya", "Tlabti lafrak", "Jamais nansa" ou encore "Mazal galbi melkiya ma bra" et "Rani nadem ala liyam". Cheb Hasni est décédé le jeudi 29 septembre 1994 à Oran, victime d'un acte terroriste dans son quartier Es-Seddikia (ex- Gambetta).De nombreux hommages lui sont rendus régulièrement par des chanteurs algériens et étrangers, notamment lors des festivals qu'abrite le Théâtre de plein air de la ville, baptisé de son nom. La commémoration de la disparition de celui que d'aucuns qualifient de roi de la chanson sentimentale, coïncide cette année avec la proposition algérienne visant au classement du genre raï à la liste représentative du patrimoine mondial de l'humanité, note-t-on.
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