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Djezzy, le retour en force




Djezzy, le retour en force
Djezzy va bien. Surtout avec le soutien du Fonds national d'investissement (FNI) et du groupe international Veon. Mais depuis plusieurs jours l'opérateur algérien, leader des technologies de communication mobiles avec plus de 17 millions d'abonnés au mois de décembre 2015, est sujet à diverses attaques inexpliquées.Djezzy va bien. Surtout avec le soutien du Fonds national d'investissement (FNI) et du groupe international Veon. Mais depuis plusieurs jours l'opérateur algérien, leader des technologies de communication mobiles avec plus de 17 millions d'abonnés au mois de décembre 2015, est sujet à diverses attaques inexpliquées.Mais l'entreprise nationale semble être au dessus de toutes ses tentatives malsaines et ne cesse de le clarifier à chaque occasion. C'est d'ailleurs dans ce contexte que Salim Tamani, responsable des relations publiques et des médias au sein de Djezzy, souligne que : "Djezzy est transparent.Sans rien à cacher, nous avons communiqué sur toutes les étapes de la transformation y compris les offres de départs volontaires, qui ne sont qu'une partie de ce vaste chantier. Djezzy considère les médias comme des partenaires très importants et stratégiques dans sa communication". Djezzy couvre 95 % de la population à travers le territoire algérien, et ses services sont déployés dans les 48 wilayas du pays.Ce dernier a connu une croissance très forte ; il a acquis un million de nouveaux abonnés en 6 mois entre juin et décembre 2007, le premier million d'abonnés ayant été atteint en septembre 2003. Djezzy veut être le premier opérateur numérique en Algérie et pour ce faire n'hésite pas à déplorer tous les efforts, les moyens humains et matériel pour réaliser cette objectif."Les changements en cours pour faire de Djezzy le leader digital et les derniers résultats confortent cette tendance mais semblent ne pas être du goût des parties qui veulent bloquer le développement de l'entreprise. Ces parties savent que Djezzy possède les ressources nécessaires pour reprendre des parts de marchés et poursuivre sa contribution à la croissance de l'économie nationale(...)Nous pensons que pas mal de ces attaques proviennent de ceux qui auraient aimé être à la place du FNI et s'emparer d'un fleuron du secteur pour envisager de nouveaux partenariats étrangers", souligne Salim Tamani . Ce dernier a qualifié de stratégique l'accord FNI-Veon qui démontre "que la règle 51/49 n'est nullement un frein pour les investissements étrangers". Selon lui, Djezzy projette de passer "d'une entreprise de télécom traditionnelle à une société technologique afin de mieux s'adapter à la nouvelle ère de notre industrie".Réussir la transformation digitaleGrace à son programme de transformation digitale lancé en avril 2015, Djezzy commence à retrouver le chemin de la croissance. Depuis déjà deux ans, la société nationale a réussi à se redresser et même à être un réel concurrent. Ces parties qui s'en prennent à Djezzy par le biais de supports médiatiques continuent de parasiter le développement de la compagnie dans l'objectif est de faire capoter le partenariat public-privé qui pourrait devenir un exemple de réussite de la règle 51/49.Dans cette transformation, le cap a été mis sur l'algérianisation de la compagnie en investissant dans le développement d'un écosystème digital et en sélectionnant des partenaires locaux dans les diverses activités de l'opérateur. Cette orientation à investir dans les entreprises locales n'a pas été du gout des parties qui savent parfaitement nager en eau trouble et qui continuent de s'enrichir sur le dos du Trésor public algérien. En tant qu'entreprise algérienne,Djezzy a pris l'engagement de faire émerger les PME locales. Ce qui s'est d'ailleurs concrétisé à l'occasion de la tenue le 25 janvier dernier des journées dédiées aux fournisseurs (Vendors Days) où Djezzy a conclu, comme toujours dans le cadre de sa procédure d'achats validée par ses actionnaires, plusieurs accords de partenariats avec des sociétés nationales en profitant du soutien de Veon dans les négociations afin d'optimiser les coûts et pouvoir consacrer des ressources à d'autres investissements dans le déploiement de la 4G et le développement globale de l'entreprise.C'est dire l'importance de cet axe stratégique adopté par la compagnie dans le cadre de son Programme de Transformation qui mise sur un plan de recrutement massif ciblant les compétences jeunes issues des universités Algériennes. Et c'est justement cette ouverture de postes budgétaires qui semble déranger voire inquiéter ceux qui, à l'intérieur ou à l'extérieur peinent à s'identifier dans le nouveau Djezzy.Mais l'entreprise nationale semble être au dessus de toutes ses tentatives malsaines et ne cesse de le clarifier à chaque occasion. C'est d'ailleurs dans ce contexte que Salim Tamani, responsable des relations publiques et des médias au sein de Djezzy, souligne que : "Djezzy est transparent.Sans rien à cacher, nous avons communiqué sur toutes les étapes de la transformation y compris les offres de départs volontaires, qui ne sont qu'une partie de ce vaste chantier. Djezzy considère les médias comme des partenaires très importants et stratégiques dans sa communication". Djezzy couvre 95 % de la population à travers le territoire algérien, et ses services sont déployés dans les 48 wilayas du pays.Ce dernier a connu une croissance très forte ; il a acquis un million de nouveaux abonnés en 6 mois entre juin et décembre 2007, le premier million d'abonnés ayant été atteint en septembre 2003. Djezzy veut être le premier opérateur numérique en Algérie et pour ce faire n'hésite pas à déplorer tous les efforts, les moyens humains et matériel pour réaliser cette objectif."Les changements en cours pour faire de Djezzy le leader digital et les derniers résultats confortent cette tendance mais semblent ne pas être du goût des parties qui veulent bloquer le développement de l'entreprise. Ces parties savent que Djezzy possède les ressources nécessaires pour reprendre des parts de marchés et poursuivre sa contribution à la croissance de l'économie nationale(...)Nous pensons que pas mal de ces attaques proviennent de ceux qui auraient aimé être à la place du FNI et s'emparer d'un fleuron du secteur pour envisager de nouveaux partenariats étrangers", souligne Salim Tamani . Ce dernier a qualifié de stratégique l'accord FNI-Veon qui démontre "que la règle 51/49 n'est nullement un frein pour les investissements étrangers". Selon lui, Djezzy projette de passer "d'une entreprise de télécom traditionnelle à une société technologique afin de mieux s'adapter à la nouvelle ère de notre industrie".Réussir la transformation digitaleGrace à son programme de transformation digitale lancé en avril 2015, Djezzy commence à retrouver le chemin de la croissance. Depuis déjà deux ans, la société nationale a réussi à se redresser et même à être un réel concurrent. Ces parties qui s'en prennent à Djezzy par le biais de supports médiatiques continuent de parasiter le développement de la compagnie dans l'objectif est de faire capoter le partenariat public-privé qui pourrait devenir un exemple de réussite de la règle 51/49.Dans cette transformation, le cap a été mis sur l'algérianisation de la compagnie en investissant dans le développement d'un écosystème digital et en sélectionnant des partenaires locaux dans les diverses activités de l'opérateur. Cette orientation à investir dans les entreprises locales n'a pas été du gout des parties qui savent parfaitement nager en eau trouble et qui continuent de s'enrichir sur le dos du Trésor public algérien. En tant qu'entreprise algérienne,Djezzy a pris l'engagement de faire émerger les PME locales. Ce qui s'est d'ailleurs concrétisé à l'occasion de la tenue le 25 janvier dernier des journées dédiées aux fournisseurs (Vendors Days) où Djezzy a conclu, comme toujours dans le cadre de sa procédure d'achats validée par ses actionnaires, plusieurs accords de partenariats avec des sociétés nationales en profitant du soutien de Veon dans les négociations afin d'optimiser les coûts et pouvoir consacrer des ressources à d'autres investissements dans le déploiement de la 4G et le développement globale de l'entreprise.C'est dire l'importance de cet axe stratégique adopté par la compagnie dans le cadre de son Programme de Transformation qui mise sur un plan de recrutement massif ciblant les compétences jeunes issues des universités Algériennes. Et c'est justement cette ouverture de postes budgétaires qui semble déranger voire inquiéter ceux qui, à l'intérieur ou à l'extérieur peinent à s'identifier dans le nouveau Djezzy.
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