Kamel Mouassa dos au mur

La JS Kabylie est incapable de s'imposer même sur sa pelouse en se contentant, à chaque fois, du partage de points avec ses adversaires. L'entraîneur, Kamel Mouassa, est appelé à trouver la bonne formule qui évitera à son équipe la crise.La JS Kabylie est incapable de s'imposer même sur sa pelouse en se contentant, à chaque fois, du partage de points avec ses adversaires. L'entraîneur, Kamel Mouassa, est appelé à trouver la bonne formule qui évitera à son équipe la crise.Partis avec de grands espoirs, les Canaris ont été accrochés, pour la troisième fois, sur leurs bases du 1er-Novembre à Tizi-Ouzou. Les hommes de Kamel Mouassa ont donné l'impression d'être mal à l'aise sur leurs bases. Les coéquipiers d'El Hadi Boulaouidet ont perdu leur verve et leur équipe reste très vulnérable, autant à domicile qu'à l'extérieur.Si la JSK multiplie les contre-performances, c'est parce qu'il existe un blocage psychologique au sein du groupe et les joueurs évoluent la peur au ventre. A domicile comme à chaque sortie, les Canaris laissent filer la victoire et n'arrivent plus à provoquer le déclic. Les coéquipiers de Ziaya perdent de plus en plus leurs moyens techniques et physiques à cause de cette mauvaise posture qui n'a que trop duré et qui pèse lourd sur eux.Ainsi, le problème est surtout d'ordre psychologique. Reste maintenant à savoir si cette sortie ratée à domicile ne va pas laisser des traces. Une piètre prestation contre le CA Batna, pourtant loin de constituer un foudre de guerre, suscite encore des interrogations dans l'entourage du club. Un match nul au goût de défaite et qui a énormément déçu les inconditionnels des Jaune et Vert.La déception ne concerne pas le résultat seulement mais aussi la prestation des joueurs sur le terrain. Les partenaires d'Asselah ont trébuché devant une équipe des Aurès qui ne misé que sur le point du match nul. Un sérieux travail psychologique attend l'entraîneur Kamel Mouassa en ce moment pour espérer remettre le groupe sur rail."Les joueurs au lieu de rester concentrés sur leur match, pensaient beaucoup plus au résultat. Les joueurs avaient une autre préoccupation : la peur de mal faire. J'ai constaté que l'ensemble des joueurs, sans aucune exception, jouaient avec la peur au ventre. On ne peut pas réaliser des résultats positifs si on ne s'aventure pas.Encore une fois, je regrette le positionnement des attaquants sur le terrain. Je ne reconnais pas mon équipe quand on a le ballon. Chacun va, de son côté, pour essayer de marquer. C'est faux, on ne peut pas marquer d'une manière hasardeuse. Tout est étudié. Nous avons eu pas mal d'occasions que mes joueurs n'ont pas été exploitées.Ce n'est pas un hasard, cela est dû à la précipitation", a indiqué l'entraîneur des Jaune et Vert Kamel Mouassa. Une chose est sûre, l'équipe ne tourne pas bien, et les joueurs sont appelés à redoubler d'efforts. Il ne faut pas se cacher derrière les erreurs d'arbitrage et autres futilités, il faut tirer les enseignements et aller de l'avant.Les choses ne marchent pas comme le souhaitent les milliers des inconditionnels et le staff technique est appelé à trouver les solutions adéquates. Les journées se suivent et se ressemblent pour cette prestigieuse formation habituée aux premiers rôles. La perte de points se multiplie et le niveau technique des joueurs parfois laisse à désirer. A l'allure où vont les choses, la JSK risque revivre le scenario des années précédentes.Partis avec de grands espoirs, les Canaris ont été accrochés, pour la troisième fois, sur leurs bases du 1er-Novembre à Tizi-Ouzou. Les hommes de Kamel Mouassa ont donné l'impression d'être mal à l'aise sur leurs bases. Les coéquipiers d'El Hadi Boulaouidet ont perdu leur verve et leur équipe reste très vulnérable, autant à domicile qu'à l'extérieur.Si la JSK multiplie les contre-performances, c'est parce qu'il existe un blocage psychologique au sein du groupe et les joueurs évoluent la peur au ventre. A domicile comme à chaque sortie, les Canaris laissent filer la victoire et n'arrivent plus à provoquer le déclic. Les coéquipiers de Ziaya perdent de plus en plus leurs moyens techniques et physiques à cause de cette mauvaise posture qui n'a que trop duré et qui pèse lourd sur eux.Ainsi, le problème est surtout d'ordre psychologique. Reste maintenant à savoir si cette sortie ratée à domicile ne va pas laisser des traces. Une piètre prestation contre le CA Batna, pourtant loin de constituer un foudre de guerre, suscite encore des interrogations dans l'entourage du club. Un match nul au goût de défaite et qui a énormément déçu les inconditionnels des Jaune et Vert.La déception ne concerne pas le résultat seulement mais aussi la prestation des joueurs sur le terrain. Les partenaires d'Asselah ont trébuché devant une équipe des Aurès qui ne misé que sur le point du match nul. Un sérieux travail psychologique attend l'entraîneur Kamel Mouassa en ce moment pour espérer remettre le groupe sur rail."Les joueurs au lieu de rester concentrés sur leur match, pensaient beaucoup plus au résultat. Les joueurs avaient une autre préoccupation : la peur de mal faire. J'ai constaté que l'ensemble des joueurs, sans aucune exception, jouaient avec la peur au ventre. On ne peut pas réaliser des résultats positifs si on ne s'aventure pas.Encore une fois, je regrette le positionnement des attaquants sur le terrain. Je ne reconnais pas mon équipe quand on a le ballon. Chacun va, de son côté, pour essayer de marquer. C'est faux, on ne peut pas marquer d'une manière hasardeuse. Tout est étudié. Nous avons eu pas mal d'occasions que mes joueurs n'ont pas été exploitées.Ce n'est pas un hasard, cela est dû à la précipitation", a indiqué l'entraîneur des Jaune et Vert Kamel Mouassa. Une chose est sûre, l'équipe ne tourne pas bien, et les joueurs sont appelés à redoubler d'efforts. Il ne faut pas se cacher derrière les erreurs d'arbitrage et autres futilités, il faut tirer les enseignements et aller de l'avant.Les choses ne marchent pas comme le souhaitent les milliers des inconditionnels et le staff technique est appelé à trouver les solutions adéquates. Les journées se suivent et se ressemblent pour cette prestigieuse formation habituée aux premiers rôles. La perte de points se multiplie et le niveau technique des joueurs parfois laisse à désirer. A l'allure où vont les choses, la JSK risque revivre le scenario des années précédentes.