Valérie Pécresse achève sa visite à Alger

En marge de sa visite à Alger où elle a été reçue par les ministres de l'Intérieur, de l'Enseignement supérieur et de l'Education, et le wali d'Alger, la présidente de l'Ile-de-France a exprimé plusieurs souhaits de coopération, qu'elle envisage de concrétiser dans le futur.Mme Valérie Pécresse est repartie comme elle est venue et ce, après avoir été reçue par de hauts responsables algériens. Dans une déclaration à la presse, elle a indiqué que la région de l'Ile-de-France a des compétences notamment en matière de développement économique, culturel et de construction de la ville. «D'ailleurs, c'est sur trois thèmes que nous avons convenus de travailler», a, t-elle déclaré en marge de l'audience que lui a accordée le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bédoui. Mme Valérie Pécresse a exprimé son souhait de faire un partenariat avec les incubateurs de start-up. «Je souhaite établir un partenariat sur les restaurations de bâtiments et de quartiers anciens, ainsi que sur la ville de demain», a-t-elle souligné. Concernant le volet culturel, Mme Pécresse a souhaité un partenariat dans le domaine des nouveaux talents émergents. La présidente du Conseil régional de l'Ile-de-France a déclaré à Alger qu'elle souhaitait un partenariat autour des questions de développement économique et numérique entre la région qu'elle dirige et la wilaya d'Alger. «Nous souhaitons un partenariat autour des questions de développement économique et numérique entre l'Ile-de-France et la wilaya d'Alger», a affirmé la responsable lors d'une conférence animée devant les étudiants de l'Ecole supérieure algérienne des affaires à l'occasion de sa visite à Alger. La conférence, qui avait pour thème «L'innovation et le numérique : les bases d'un nouveau partenariat euro-méditerranéen '», a été animée en présence de l'ambassadeur de France en Algérie, Bernard Emié, du président de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie et président du Conseil d'administration de l'ESAA, Mohamed Laid Benamor, et du directeur général de l'ESSA, Patrick Micheletté.