La diplomatie algérienne durant la guerre de Libération en débat

La direction de wilaya des moudjahidine de Djelfa est en pleine effervescence. D'une conférence à l'autre, d'un thème à l'autre. Son directeur et ses agents ne semblent pas se fatiguer.Cette fin de semaine à l'amphithéâtre du département histoire de la faculté des sciences humaines en collaboration avec l'encadrement de l'Institut d'histoire et du doyen de la faculté des sciences sociale, ils ont organisé des conférences débats avec les étudiants qui ont été agréablement surpris par la présentation d'un exposé par des représentants du secteur et agrémenté par des docteurs en histoire. Le thème est l'évolution de la diplomatie algérienne. Ses débuts durant la révolution libératrice. Le deuxième axe s'articule sur le rôle de la diplomatie et sa contribution dans la sensibilisation des peuples et des nations à la cause algérienne. Le troisième axe d'intervention évoque les diplomates algériens au sein des institutions internationales. Enfin, la diplomatie algérienne et les accords d'Evian. Deux noms de nos valeureux moudjahidine sont revenus assez souvent lors des débats ; il s'agit de Ferhat Abbas et du Dr Benyoucef Benkhedda. Le plus important, c'est cette prise de conscience des étudiants présents et de l'encadrement qui a participé à cette rencontre. En of un des observateurs les plus assidus nous fera remarquer que tout ce que fait le directeur des moudjahidine est parfait sauf qu'il vient de mobiliser encore une fois le moudjahid Charrone Mokhtar au sein de la commission scientifique alors qu'il est fatigué. Ce n'est pas notre avis et nous avons fait remarquer au souffleur qu'est ce qu'il reste à nos valeureux moudjahidine à vivre. Remercions-les d'avoir libéré la nation et prenons les choses positives comme celle des deux corps le MALG et les affaires étrangères. Si durant la révolution, elles n'étaient pas efficaces, aujourd'hui, on serait toujours colonisés.