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Les abus sexuels explosent en Algérie !



Parmi les appels qu'on reçoit," les abus sexuels viennent en tête. Généralement, ce sont les mamans qui appellent, accusant le père, un oncle, un voisin ou un proche. Tout homme qui l'approche le terrorise. L'enfant agressé voit en lui son agresseur".Parmi les appels qu'on reçoit," les abus sexuels viennent en tête. Généralement, ce sont les mamans qui appellent, accusant le père, un oncle, un voisin ou un proche. Tout homme qui l'approche le terrorise. L'enfant agressé voit en lui son agresseur".
C'est le terrible constat que fait le docteur Salah Sarah, psychologue et télé-conseillère du programme "Je t'écoute", lancé par le réseau algérien pour la défense des droits de l'enfant (Nada). Ainsi, selon le collectif d'associations qui oeuvre pour la protection des droits de l'enfant, parmi les violences dénoncées contre les enfants, les abus sexuels viennent en tête des appels reçus au numéro vert du réseau Nada, le 30.33. Une étude présentée par des spécialistes en sociologie en 2016 révélait l'ampleur de ce drame.
Ainsi, sur les 65.000 cas de violence enregistrés contre les enfants, 1.600 ont trait à des abus sexuels ! Ces mêmes experts participaient à un séminaire international sur l'enfance agressé, organisé par la faculté de sociologie de l'université de Blida 2. Ils faisaient savoir que ce chiffre était loin de refléter la réalité. Selon eux, plusieurs enfants agressés souffrent en silence et ne se manifestent pas. Devant ce phénomène qui prend de plus en plus d'ampleur, les scientifiques avaient rappelé le contenu du rapport de l'Unicef de 2014. Ce dernier avait, selon eux, classé l'Algérie parmi les 190 pays qui pratiquent la violence familiale.
5 personnes arrêtées pour viol sur une mineure
Les services de la Sûreté de wilaya de Biskra ont interpellé avant-hier 5 personnes impliquées dans l'enlèvement et le viol d'une mineure. Selon les indications fournies par la cellule de communication de la Sûreté nationale, l'enquête a démarré suite à la disparition d'une mineure de 16 ans signalée par ses parents.
Les investigations entreprises par les éléments de la 8e sûreté urbaine de Biskra ont permis de la localisation du lieu où la victime était retenue en otage puis sa libération en plus de l'arrestation des mis en cause âgés de de 21 ans à 39 ans. Les services compétents procèdent actuellement à l'élaboration du dossier pénal pour le transmettre à la justice.
C'est le terrible constat que fait le docteur Salah Sarah, psychologue et télé-conseillère du programme "Je t'écoute", lancé par le réseau algérien pour la défense des droits de l'enfant (Nada). Ainsi, selon le collectif d'associations qui oeuvre pour la protection des droits de l'enfant, parmi les violences dénoncées contre les enfants, les abus sexuels viennent en tête des appels reçus au numéro vert du réseau Nada, le 30.33. Une étude présentée par des spécialistes en sociologie en 2016 révélait l'ampleur de ce drame.
Ainsi, sur les 65.000 cas de violence enregistrés contre les enfants, 1.600 ont trait à des abus sexuels ! Ces mêmes experts participaient à un séminaire international sur l'enfance agressé, organisé par la faculté de sociologie de l'université de Blida 2. Ils faisaient savoir que ce chiffre était loin de refléter la réalité. Selon eux, plusieurs enfants agressés souffrent en silence et ne se manifestent pas. Devant ce phénomène qui prend de plus en plus d'ampleur, les scientifiques avaient rappelé le contenu du rapport de l'Unicef de 2014. Ce dernier avait, selon eux, classé l'Algérie parmi les 190 pays qui pratiquent la violence familiale.
5 personnes arrêtées pour viol sur une mineure
Les services de la Sûreté de wilaya de Biskra ont interpellé avant-hier 5 personnes impliquées dans l'enlèvement et le viol d'une mineure. Selon les indications fournies par la cellule de communication de la Sûreté nationale, l'enquête a démarré suite à la disparition d'une mineure de 16 ans signalée par ses parents.
Les investigations entreprises par les éléments de la 8e sûreté urbaine de Biskra ont permis de la localisation du lieu où la victime était retenue en otage puis sa libération en plus de l'arrestation des mis en cause âgés de de 21 ans à 39 ans. Les services compétents procèdent actuellement à l'élaboration du dossier pénal pour le transmettre à la justice.
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